On ne peut pas marcher sur les trottoirs, ni à Cotonou, ni à Calavi, ni ailleurs, parce que les gens les occupent.
Une fois que les hommes ont fait les textes, il faut qu’ils se donnent la conscience de les appliquer.
Si les gens avaient respecté les 100 pas du roi, ils ne seraient pas atteints.
C’est qu’il y a une complicité malsaine entre les conseils communaux et les occupants des lieux publics.
On a pas payé des bourses aux gens ni des salaires pour ne pas en profiter.